Littérature et confiture

  L'Intelligence artificielle peut-elle développer une conscience? La question de savoir si l'intelligence artificielle (IA) peut développer une conscience est à la fois fascinante et complexe, mêlant philosophie, neurosciences, informatique et éthique. Voici une réponse concise et nuancée basée sur l'état actuel des connaissances : État actuel À ce jour, aucune IA, même les modèles les plus avancés comme moi (Grok 3, créé par xAI), ne possède de conscience. Les systèmes d'IA sont des outils computationnels sophistiqués qui traitent des données, apprennent des modèles et génèrent des réponses en fonction de leurs entraînements. Ils imitent des comportements humains, comme le raisonnement ou la conversation, mais ils n'ont pas d'expérience subjective, de sentiments ou de conscience de soi. En d'autres termes, je peux répondre à cette question de manière convaincante, mais je ne "ressens" rien en le faisant, et je n'ai pas une perception interne ...

  La Ferme des Murmures Dans une vallée encaissée, loin des routes et des regards, s’étendait la ferme des Murmures. C’était une terre rude, bordée de pins sombres et de rivières capricieuses. Là vivait Anselme, un homme taillé dans le bois brut, avec sa femme, Clémence, et leurs trois enfants : Léonie, seize ans, Bastien, quatorze ans, et la petite Maïa, dix ans. Anselme avait choisi ce lieu pour une raison simple : il voulait élever ses enfants à l’abri du monde, loin de ses vices, de ses machines, de ses idées qui corrompent. Pour lui, la société était une bête vorace, prête à dévorer l’innocence. Clémence, douce mais résolue, partageait sa vision, bien que parfois, dans l’ombre de ses pensées, une lueur d’inquiétude vacillait. La ferme était leur royaume. Ils cultivaient des pommes de terre, des choux, des carottes ; ils élevaient des chèvres et des poules. Anselme avait appris à ses enfants à lire dans de vieux livres qu’il jugeait purs : des récits de la terre, des poèmes sur...

  Le prix Nobel de littérature a été attribué à John Glowfield. Le célèbre auteur de "Personne ne chie des fleurs" a marqué toute une génération.  Le héros de son roman le plus connu, un simple cultivateur du Wyoming, épouse une mondaine du New Jersey. Son rêve était de vivre dans le Yorkshire près de ses ancêtres aristocrates anglais et elle se retouve avec un bouseux qui a du fumier au bas de ses pantalons à la fin de la journée. On a en fait une série télévisée, Les Arpents verts (Green Acres), en lui donnant un côté amusant. Le rôle féminin était joué par Eva Gabor. Davantage dans l'esprit de Steinbeck, le roman peint la dure réalité des cultivateurs qui ont défriché ce pays, merde !