Une soirée au FEQ
Donc je suis parti un peu tard pour aller voir Muse. J'étais accompagné de la trapéziste de Transe Express ; malgré la différence d'âge, nous avons trouvé un intérêt commun dans le macramé.
L'entrée s'est faite de façon un peu lente parce que chaque spectateur avait droit à une bouteille de champagne et à deux bouteilles de bordeaux, cadeaux du Festival.
Le Festival a vraiment un budget solide !
Je résume le spectacle : électrique.
En effet, sans électricité, il eut été impossible d'offrir ce spectacle. Avec une guitare acoustique et un tambourin, les spectateurs auraient perdu beaucoup de nuances à un kilomètre de distance.
Rendons grâce à René Lévesque qui a nationalisé l'électricité même s'il n'a pas inventé comme tel l'électricité qui est une donnée de la phénoménologie.
Ensuite ma trapéziste devait se changer pour donner son spectacle qui consistait à voler et à toucher le sommet de la fontaine de Tourny sans avoir un torticolis sur les airs de 1990 de Jean Leloup et de Kashmir de Led Zeppelin.
C'est bien ces spectacles de rue slash art du cirque. Comme le Cirque du Soleil, ça ne veut rien dire mais ça intrigue. On a l'impression de vivre quelque chose de spécial.
Après cette soirée mouvementée, je devais rentrer au Centre pour soigner mes muscles endoloris et remettre ma camisole de force.
À l'année prochaine Festival !
http://www.transe-express.com/compagnie
L'entrée s'est faite de façon un peu lente parce que chaque spectateur avait droit à une bouteille de champagne et à deux bouteilles de bordeaux, cadeaux du Festival.
Le Festival a vraiment un budget solide !
Je résume le spectacle : électrique.
En effet, sans électricité, il eut été impossible d'offrir ce spectacle. Avec une guitare acoustique et un tambourin, les spectateurs auraient perdu beaucoup de nuances à un kilomètre de distance.
Rendons grâce à René Lévesque qui a nationalisé l'électricité même s'il n'a pas inventé comme tel l'électricité qui est une donnée de la phénoménologie.
Ensuite ma trapéziste devait se changer pour donner son spectacle qui consistait à voler et à toucher le sommet de la fontaine de Tourny sans avoir un torticolis sur les airs de 1990 de Jean Leloup et de Kashmir de Led Zeppelin.
C'est bien ces spectacles de rue slash art du cirque. Comme le Cirque du Soleil, ça ne veut rien dire mais ça intrigue. On a l'impression de vivre quelque chose de spécial.
Après cette soirée mouvementée, je devais rentrer au Centre pour soigner mes muscles endoloris et remettre ma camisole de force.
À l'année prochaine Festival !
http://www.transe-express.com/compagnie
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