Brève phénoménologie du vampirisme
Scénario typique du film de vampire.
Un couple de jeunes mariés arrivent dans un château.
La belle mariée est subjuguée par le comte qui joue Chopin comme Chopin.
Le soir, elle rêve du comte qui vient la mordre dans le cou, c'est assez fréquent en Transylvanie !
Non ! Ce n'était pas un rêve !
Petits trous d'où sortent quelques gouttes de sang dans le cou gracile de la belle jouvencelle.
Quel est le sens profond de cette séquence?
On sent qu'il y a quelque chose qui a à voir avec la séduction, le sexe.
On pense à la défloration.
Mais la jeune femme étant mariée, en théorie, elle n'est plus vierge.
Son mariage, célébré devant l'Église et la société lui a fait accéder à la consécration blanche qui lui permet de jouir sans péché de l'union charnelle ;
tandis que ce comte venu des ténèbres, ce Don Juan des caveaux, l'initie au monde noir de la mort et du péché sans fin.
Mais il existe toutes les variantes possibles de l'histoire de Dracula.
La jeune femme n'est pas nécessairement mariée. Ce sont parfois de jeunes femmes innocentes
qui perdent leur pureté... ou qui cherchent à la perdre.
Elles portent souvent des robes très décolletées, laissant entrevoir des seins qui se gonflent, quand elles respirent.
Et la nuit, des chemisettes transparentes qui ont dû émouvoir plus d'un spectateur des salles obscures.
Ainsi ce genre de séries B explore toutes les variations des thèmes du mal, de la sexualité défendue et de l'attrait du péché... et souvent avec Peter Cushing, Christopher Plummer ou Christopher Lee (photo). Une sorte de tradition anglaise du genre qui mériterait une analyse. Le prince Charles se prétend d'ailleurs descendant de Vlad III Basarab, surnommé « l'Empaleur », qui aurait inspiré la légende "draculéenne".
Note : Phénoménologie pour faire prétentieux ! Juste pour signifier description.
Un couple de jeunes mariés arrivent dans un château.
La belle mariée est subjuguée par le comte qui joue Chopin comme Chopin.
Le soir, elle rêve du comte qui vient la mordre dans le cou, c'est assez fréquent en Transylvanie !
Non ! Ce n'était pas un rêve !
Petits trous d'où sortent quelques gouttes de sang dans le cou gracile de la belle jouvencelle.
Quel est le sens profond de cette séquence?
On sent qu'il y a quelque chose qui a à voir avec la séduction, le sexe.
On pense à la défloration.
Mais la jeune femme étant mariée, en théorie, elle n'est plus vierge.
Son mariage, célébré devant l'Église et la société lui a fait accéder à la consécration blanche qui lui permet de jouir sans péché de l'union charnelle ;
tandis que ce comte venu des ténèbres, ce Don Juan des caveaux, l'initie au monde noir de la mort et du péché sans fin.
Mais il existe toutes les variantes possibles de l'histoire de Dracula.
La jeune femme n'est pas nécessairement mariée. Ce sont parfois de jeunes femmes innocentes
qui perdent leur pureté... ou qui cherchent à la perdre.
Elles portent souvent des robes très décolletées, laissant entrevoir des seins qui se gonflent, quand elles respirent.
Et la nuit, des chemisettes transparentes qui ont dû émouvoir plus d'un spectateur des salles obscures.
Ainsi ce genre de séries B explore toutes les variations des thèmes du mal, de la sexualité défendue et de l'attrait du péché... et souvent avec Peter Cushing, Christopher Plummer ou Christopher Lee (photo). Une sorte de tradition anglaise du genre qui mériterait une analyse. Le prince Charles se prétend d'ailleurs descendant de Vlad III Basarab, surnommé « l'Empaleur », qui aurait inspiré la légende "draculéenne".
Note : Phénoménologie pour faire prétentieux ! Juste pour signifier description.
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