Jane Fonda, les Vénusiens, et la libération sexuelle

Quel jour sommes-nous? Le 8 décembre. Jour de la Vierge Marie (?).

Le ciel est clair et je vois Vénus à l'horizon. Très brillante. Plus que sur la photo.

C'est la planète de l'amour, je crois, en astrologie.

Vénus est peuplée par des mannequins qui ont vingt ans et qui ne vieillissent plus.

Les Vénusiens et les Vénusiennes ne naissent pas comme nous, dans des choux (?), mais sont créés en laboratoire et restent in vitro, dans des sortes de cocons, jusqu'à vingt ans.

Ils sont éduqués directement par des électrodes dans le cerveau.

À l'adolescence, on leur injecte une drogue qui les propulsent dans le haut astral de Vénus où ils sont initiés au sexe tantrique dans des temples merveilleux.

D'ailleurs, l'astral vénusien communique avec l'astral terrien pour initier les adeptes terriens du tantrisme.

La principale source d'énergie des Vénusiens est de faire l'amour, comme dans Barbarella (film avec Jane Fonda). Ensuite, l'énergie est distribuée dans le système solaire et dans l'univers en synergie avec le Soleil.

Le film Barbarella est directement inspiré de la vie vénusienne. Oh ! Bien sûr ! le réalisateur a un peu fabulé !

Jane Fonda était sa femme à l'époque.

C'est en France qu'elle s'est libérée sexuellement et politiquement.

L'Américaine, qui vient d'une culture réprimée sexuellement, associe la France à la liberté du corps.

Comme elle ne connaît pas les codes, elle croit que tout est permis.

Aux États-Unis, le sexe est uniquement permis quand il est associé au système commercial qui le justifie.

Il en est né toute l'industrie pornographique (Playboy) qui pourrait laisser croire que c'est un pays libéré.

Il l'est plus qu'avant.

Même nue et très jolie, la belle Jane exhale un érotisme un peu froid. Nous ne sommes pas dans le monde latin, mais dans le monde germanique.