L'Orchestre Métropolitain, fleuron québécois
Je regarde "Ensemble", un excellent documentaire sur l'Orchestre Métropolitain dit de Montréal (l'ancienne ville québécoise).
On se demande si ce n'est pas la dernière réalisation québécoise avant le Grand Remplacement maintenant complété à Mountreehall?
L'Orchestre, d'après ce qu'on peut voir dans le documentaire, est formé en grande partie de Québécois francophones. Il y a quelques Anglos-Québécois, bien intégrés à l'orchestre, ça existe. Et une Québécoise d'origine russe, entre autres, une Européenne donc. (Les Asiatiques, par ailleurs très brillants, n'ont pas encore remplacés tous les musiciens!)
À noter le grand nombre de femmes, ce qui devrait plaire à notre féminisme institutionnel. Ce n'est pas un boysclub. Le premier violon est une femme.
On apprend que l'Orchestre n'a pas eu de subventions du Conseil des Arts du Canada la première année. Faut-il s'en étonner venant de cette institution fédérale anti-québécoise? Évidemment, maintenant que le succès est établi, on va le récupérer à grand coup de subventions et de commanditaires pour que l'Orchestre fasse la propagande canadienne.
À ce propos, l'excellent Yannick Nézet-Séguin se laisse aller à parler de sa "famille canadienne" en parlant de l'Orchestre... Il faut dire québécoise, mon cher ami ! On peut aussi lui reprocher l'emploi d'anglicismes pendant les répétitions. Les anglicismes sont une facilité et ils nous font perdre notre vocabulaire. Nous oublions ainsi le mot français que nous aurions dû utiliser.
Cela dit, même si je suis incapable de juger si un orchestre symphonique est meilleure qu'un autre, la longue carrière du Métropolitain prouve son excellence. De même que la carrière internationale de Yannick Nézet-Séguin, qu'il ne doit qu'à son grand talent, fait honneur à tout le Québec.
L'Orchestre lui aura permis de parfaire aussi sa maestria.
Toutes les grandes initiatives culturelles de l'ancienne capitale du Québec ont été le fait de Québécois : le Festival Juste pour Rire, le Festival de Jazz, le Festival du Cinéma, le Festival de la Francophonie, Expo 67, etc., l'Orchestre Métropolitain.
Avec le changement de population, y aura-t-il la naissance d'autres fleurons québécois qui vont germer et naître? On en doute. Et toute nouveauté sera estampillée "Made in Canada" et sera insipide puisque sans personnalité, noyé dans la mélasse de la diversité du pays post-national.
On se demande si ce n'est pas la dernière réalisation québécoise avant le Grand Remplacement maintenant complété à Mountreehall?
L'Orchestre, d'après ce qu'on peut voir dans le documentaire, est formé en grande partie de Québécois francophones. Il y a quelques Anglos-Québécois, bien intégrés à l'orchestre, ça existe. Et une Québécoise d'origine russe, entre autres, une Européenne donc. (Les Asiatiques, par ailleurs très brillants, n'ont pas encore remplacés tous les musiciens!)
À noter le grand nombre de femmes, ce qui devrait plaire à notre féminisme institutionnel. Ce n'est pas un boysclub. Le premier violon est une femme.
On apprend que l'Orchestre n'a pas eu de subventions du Conseil des Arts du Canada la première année. Faut-il s'en étonner venant de cette institution fédérale anti-québécoise? Évidemment, maintenant que le succès est établi, on va le récupérer à grand coup de subventions et de commanditaires pour que l'Orchestre fasse la propagande canadienne.
À ce propos, l'excellent Yannick Nézet-Séguin se laisse aller à parler de sa "famille canadienne" en parlant de l'Orchestre... Il faut dire québécoise, mon cher ami ! On peut aussi lui reprocher l'emploi d'anglicismes pendant les répétitions. Les anglicismes sont une facilité et ils nous font perdre notre vocabulaire. Nous oublions ainsi le mot français que nous aurions dû utiliser.
Cela dit, même si je suis incapable de juger si un orchestre symphonique est meilleure qu'un autre, la longue carrière du Métropolitain prouve son excellence. De même que la carrière internationale de Yannick Nézet-Séguin, qu'il ne doit qu'à son grand talent, fait honneur à tout le Québec.
L'Orchestre lui aura permis de parfaire aussi sa maestria.
Toutes les grandes initiatives culturelles de l'ancienne capitale du Québec ont été le fait de Québécois : le Festival Juste pour Rire, le Festival de Jazz, le Festival du Cinéma, le Festival de la Francophonie, Expo 67, etc., l'Orchestre Métropolitain.
Avec le changement de population, y aura-t-il la naissance d'autres fleurons québécois qui vont germer et naître? On en doute. Et toute nouveauté sera estampillée "Made in Canada" et sera insipide puisque sans personnalité, noyé dans la mélasse de la diversité du pays post-national.
Commentaires
Enregistrer un commentaire