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Affichage des articles du janvier, 2021

Si vieillesse pouvait, si jeunesse savait...

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 ... Ou bien le contraire. Quelle ironie de la vie qu'il fasse attendre le vieil âge pour vraiment profiter de la vie. On les voyait ces vieux (avant la pandémie) qui embarquaient sur ces immenses paquebots à multiples étages pour visiter douze pays en quinze jours. Le temps de débarquer pour une après-midi et de glaner superficiellement la saveur culturelle d'une ville : tout au plus un succédané de tourisme pour un ersatz de vitalité avant la disparition dans le néant. Heureusement, les jeunes Québécois, grâce au travail de leurs aînés, peuvent maintenant voyager et vivre vraiment leur jeunesse. C'est aussi superficiel mais avec l'avantage d'avoir encore un beau corps et sans les tabous des années religieuses du Québec. Mais peut-être que je fais de l'âgisme.  Je voudrais l'éternité mais avec un corps de vingt-cinq ans. Vite ! "Transhumanisez-nous" la jeunesse perpétuelle !

Being stoned

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  What is nice of being stoned is to forget, in part, about its ego. Although cannabis is not LSD, it is not as strong of course, it is enough to change the way the world is interpreted. Because our mond lost its faculty to stay focus, to stay concentred, for a while it gives you a kind of relief and freedom from this perpetual analytic self that censured everything. It is efficiant in particulary when one falls asleep. It arrived smootly in a mixture od dream and reality, and the dreams could get deeper. Legalized cannabis is a step, but how about other drugs, more deeper. I heard good thing about 5meO-Dmt, a drug that came from a toad that live only in New Mexico and Arizona, this king of place. See actualized.org on YouTube :  https://www.youtube.com/watch?v=rH1bfZ1p6sg&t=1597s And "s'cuse me while I kiss the sky"...

Chronique culturelle No 4788 : cinéma, Ardisson, etc.

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Le thème de ce billet pourrait être comment la gauche sociétale tue toutes formes d'audace et de créativité à la télé, au cinéma. 1) R ègles du cinéma dans une société marxiste culturelle : Le méchant est Blanc, Allemand ou Russe le plus souvent. Il peut y avoir d'autres nationalités, mais le méchant islamiste n'est plus acceptable. La femme a un rôle dominant, "bad ass", plus macho que Kathrin Bigelow, parfaite : elle sait tout, elle est super intelligente (scientifque dans Interstellar, Contact) et elle est aussi forte qu'un homme (experte en arts martiaux). Souvent secondée d'un Noir. Autres catégories parfaites et parées de toutes les qualités : les Amérindiens, les Mosselimes, les Indiens, tous ceux associés au tiers-monde. Tous les films qui ont pour cadre le Moyen-Orient sont d'une incroyable complaisance avec la violence qu'on n'accepterait jamais en Occident. De façon plus ou moins subtile, le réalisateur ou le scénariste gauchistes le...