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Affichage des articles du août, 2021

L'homme qui a vaincu la mort... pas pour longtemps !

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(En attendant les spaghettinis...) Ne vous gonflez pas trop la poitrine, ce n'est qu'une victoire  relative ! Dans dix ans, quinze ans, peut-être vingt, ce sera votre tour ! Mais peu importe au fond puisque Leo Da Vinci, Bach, Mozart, César l'empereur, César et ses Romains, Cléopâtre, Ramsès Un, Deux et Trois : ils y ont tous passé, tôt ou tard. Et que restera-t-il de nous dans dix mille ans? Que savons-nous du temps avant l'Égypte? Celle-ci est déjà bien mystérieuse. Avant, il y avait les Sumériens dont on ne connaît presque rien. Et que dire de la mythique Altlantide à laquelle Platon et Richard Glenn font allusion. Non, je vous le dis, Mortels ! Inutile de jouer les fanfarons, vous ne l'emportez pas au paradis !

Audrey Tautou : une fille ordinaire? (Portrait naïf)

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  Oui, c'est une fille ordinaire comme vous et moi : elle a deux yeux, deux bras, deux jambes... et je suis sûr qu'elle va aux toilettes comme tout le monde. Elle est ordinaire, vraiment. Oui, à un certain niveau car elle est aussi une formidable actrice ! Nous l'avons tous découverte dans ce film maniéré "Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain". Elle y jouait une schizophrène à la recherche de l'amour. Finalement, elle rencontre un autiste asperger et sympathise avec des nains difformes. La musique est horrible, extrêmement répétitive. Cependant, ce qui est frappant avec notre fille ordinaire est son extraordinaire aisance. Elle semble en totale harmonie avec elle-même. Elle est très moderne. Bien dans sa peau.  Son visage qui rappelle parfois les filles à l'époque du Charleston est très français, à la fois rétro et d'aujourd'hui. Donc, si vous hésitez, n'hésitez pas à aller la voir un jour.

JOurnal 4500 plus B

  Si on pouvait commercialiser une crème glacée sans sucre, ou un Mr. Freeze qui n'abîme pas les dents. Ça doit exister. Date d’envoi de votre message : Aujourd’hui, à 05:56 Plongeuses chinoises aux Olympiques : les meilleures, les plus moches. Elles n'ont pas de forme. Date d’envoi de votre message : Aujourd’hui, à 05:58 La capitaine de l'équipe de soccer américaine est lesbienne. Elle a le droit. Le meilleur de la partie est quand elles sont dans les douches (non télé-diffusé!)? Elles jouent mal. Quel sexiste, je suis ! Pourquoi les femmes essaient-elles toujours de copier les hommes? La boxe féminine ! Ouille ! C'est laid. Je ne vois pas en quoi cela élève l'âme. La boxe masculine est déjà un sport critiquable : on permet dans un ring ce qu'on interdit tout partout.

Miscellanées

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L a réincarnation existe ou non? Date d’envoi de votre message : Aujourd’hui, à 06:20 C'est plausible? Qu'est-ce qui se réincarnerait au juste? Date d’envoi de votre message : Aujourd’hui, à 06:20 Si présentement, nous sommes réincarnés, nous n'avons aucun souvenir de l'autre vie, donc ça ne change rien. Date d’envoi de votre message : Aujourd’hui, à 06:21 La personnalité veut survivre au fond et cherche une doctrine pour se rasséréner dans une croyance. Un témoignage sur Internet sur un autre sujet : hinokonih   Bonjour ! Messages 12 Parfois, notre vie de couple est désespérément éloignée de ce que nous désirons et malgré toutes les insatisfactions accumulées, les frustrations et les sacrifices endurés, nous ne voulons pas briser notre famille. Les enfants qu'on veut voir grandir auprès de leur père, un certain sens du devoir.  Bref, des raisons pas forcément bonnes mais pas forcément mauvaises pour ne pas se séparer.  Je vis cette situatio...

Interrogatoire de Police 4

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  - Pourquoi ce rendez-vous dans le stationnement du poste de police,  Monsieur  l'inspecteur? - Allons dans ce café, je vais tout vous expliquer. - En vérité, je ne suis pas inspecteur de police. Je ne travaille pas ici.  Et si ça peut vous rassurer, vous n'êtes pas un coupable. - Alors, pourquoi ce manège? - J'essayais juste de découvrir qui j'étais et vous m'avez donné  quelques réponses. En réalité, je n'ai pas de substrat ontologique. - C'est bien vu. - Si ça se trouve, quelqu'un tire les ficelles à quelque part et il me fait aller ici ou là. - Je pense qu'il était ici, ensuite il met le point, là. - Ça peut faire ce que ça veut, indépendamment de notre volonté. - Cependant, les possibilités sont infinies. - Sur ce, je vous remercie. - Si la fin vous déplaît, il faut se plaindre au Comité des Auteurs.

Interrogatoire de police 3

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  - Littérature et Confiture, c'est bien vous cela? - Oui, Monsieur l'inspecteur. - Vous écrivez : "L'humain est une forme sur laquelle on peut  projeter  une identité fictive." Vous allez où avec ces pseudo-début- de-pensée-de- mords-moi-le-noeud-à-la-con? - Ça me semblait juste quand je l'ai écrit. - Et si je vous en files une sur le bord de la tête, elle sera fictive  votre  identité? - C'est l'identité conceptuelle qui ne repose sur aucun substrat. - Qu'en savez-vous? - Je n'en sais rien. Il n'y a rien à savoir en fait. - Vous ajoutez dans la même entrée que "la question du Qui Suis-je? nous renvoie à une non-réponse qui peut révéler l'envers de cette  identité, sa profondeur infinie". Non, mais vous vous prenez pour  qui! On en reparle, je vous ai à l'oeil. Continuez à écrire vos  conneries et à donner la corde pour vous pendre.

Interrogatoire de police 2

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  - Et que faisiez-vous dans ce parc, hier après-midi, vers 16 heures? - Quoi, vous me faites suivre maintenant? - Quand on n'a rien à se reprocher... Répondez à la question ! - Vers 16 heures, oui, j'étais dans ce parc et j'observais le vent qui  fait  trembler les arbres. - Que vous ont-ils fait ces arbres? - Rien du tout. J'aime admirer toutes les nuances de vert de la  nature.  Quand le vent est fort, les feuilles se retournent et une  nouvelle  nuance de vert apparaît. - Et puis après? Votre rapport ontologique avec les éléments n'est  pas  fondamentalement modifié... Louche, très louche. Je ne suis pas  convaincu de votre explication. - On m'accuse de quoi au juste? - Pour l'instant de rien du tout, mais je vous ai à l'oeil, mon petit !  Votre insistance  à rechercher une coïncidence  sémantique à des  événements parallèles  non reliés me rend très songeur. On se  reparle ! Ne quittez pas la ville, ni ...