Automne 2021
Je regarde les vidéos du guitariste soliste de Megadeth, Kiko Loureiro, d'origine brésilienne. Il vit en Californie. https://www.youtube.com/watch?v=3ho9Bngehqc&list=TLPQMTExMTIwMjGmNr1_JN5Bpg&index=10
C'est un peu répétitif parce que la tournée est un peu répétitive : transport de ville en ville, hôtel, balance de sons (sound check), signatures, rencontre avec les admirateurs, concert qui dure pas très longtemps en comparaison avec l'organisation que cela demande. Ensuite, on refait le numéro dans la ville suivante.
Dans un clip, il amène sa petite fille de six-sept ans? qui porte un petit casque pour protéger son audition pendant le concert. Ce n'est pas banal, elle va se faire plein de souvenirs des choses uniques qu'elle doit vivre.
Le monde des coulisses est un monde d'hommes. Outre les blondes et les compagnes, il n'y a pas de femmes dans ce monde d'hommes qui demandent force et détermination. C'est peut-être pourquoi ça roule aussi bien ! Ah ! le méchant sexiste ! Et pourquoi faudrait-il absolument qu'il y ait des femmes? Chacun son domaine. Il y a peu de femmes dans le rock, encore moins dans le trash metal. Il y en a quelques-unes qui jouent les guitares héroïnes (sans jeu de mots, quoique dans le rock, l'héroïne...). Alice Cooper emploie deux femmes guitaristes. Elles sont aussi bonnes que les hommes techniquement, cependant innovent-elles?
De toute façon, quels sont les guitaristes qui ont innové vraiment? Par définition, il y a des pionniers et les autres qui s'en inspirent : Jimi Hendrix, Eddy Van Halen sont les noms qui reviennent le plus souvent dans le rock. Steve Vai a poussé un peu plus loin la technique de Van Halen avec son savoir musical (il sait lire et écrire la musique, études à Berkeley à Boston). Dans le domaine du jazz, je pense à Pat Metheney et John McLauglin qui a innové avec la fusion jazz-rock et la musique indienne pendant un temps.
- Je prends le temps de regarder le film "Groundhog day", "Le Jour de la marmotte", un film de 1993. Un film qui pourrait être redondant mais dont l'invention scénaristique nous étonne. Cela se passe dans un petit bourg de Pensylvannie. On compte sur les doigts d'une main les personnages de couleur, un barman et une infirmière. Si les Noirs ont besoin de s'identifier à d'autres personnes de leur "race", le caucasien itou ! Pourquoi n'aurions-nous pas le droit de vivre uniquement dans notre communauté?
Je ne crois pas au vivre-ensemble, même si c'est une amère constatation. La bonne entente est possible quand il ne se crée pas de communautarisme ; quand l'immigration représente tout au plus plus ou moins 5% de l'ensemble de la population (5% est encore trop!). Tôt ou tard, les individus vont se regrouper par affinités : qui se ressemble s'assemble.
Pour revenir à notre film, c'est un film qui est dans la tradition américaine de la comédie pour toute la famille, une sorte de fable qui se conclue par une sorte de morale, de leçon philosophique sur la vie. Autres exemples : Home alone, It's a wonderful life, etc...
- Déjà la télé 4k et même 8K ! Au Japon, ils ont déjà accès à ces merveilles de technologie.
L'être humain fait de grandes choses parfois.
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