L'avenir de la Musique
Mon ami Sting (??) a vendu son catalogue de chansons, 250 millions de beaux dollars !
C'est une tendance chez les artistes comme me l'a appris Rick Beato ( Monsiuer Musique sur YouTube. Si vous voulez tout connaître sur la musique aujourd'hui. C'est un ancien producteur, musicien, prof de musique.)
https://www.youtube.com/watch?v=YDlnFzsiyB8
Il fait bien parce que sa musique n'a pas d'avenir, aussi talentueux soit-il.
Dylan, Sprinsteen ont fait la même chose, je crois. Madonna devrait aussi vendre ses tounes superficielles, si on peut lui donner un conseil (je peux bien parce que c'est ma cousine d'après mon arbre généalogique, comme Céline Dion. Les Québécois ont tous des ancêtres communs).
Quel est l'intérêt de vendre son catalogue?
Eh bien, de faire un maximum de fric quand on est encore vivant et d'en profiter. De ne pas laisser ses descendants avec la tâche de gérer un catalogue qui peut ou pas ne rien valoir dans vingt ou trente ans. Aussi d'éviter les chicanes de famille entre les descendants, comme l'exemple de Johnny Hallyday le montre, étant donné que le gros con de Belge a déshérité deux de ses enfants pour privilégier ses deux derniers et sa femme Sugar Daddy.
La musique est devenue tellement changeante et la façon de l'écouter est diverse. Aujourd'hui, on l'écoute sur Spotify (surtout les plus jeunes qui connaissent les tendances de la virtualité), mais demain on l'écoutera de quelle façon?
Et puis qu'est-ce qui plaît aujourd'hui?
Le rap, le hip-hop de merde (jugement de valeur!) : chacun ses goûts. Ou bien Ed Sheeran et ses chansons répétitives avec quatre accords? Dans le meilleur des cas, Coldplay, une musique plus complexe, vous rejoint peut-être davantage.
On constate que les musiques le moindrement complexes sont ignorées.
Ce sont des musiques qui vivent parce que vous aviez 16 ans dans les années 70... Ou dans les années 80.
Vous êtes de la génération Police et Madonna, ou de la génération Led Zeppelin, ou celle des Rolling Stones et des Beatles.
Donc vous atteignez un certain âge.
Il y a encore un marché pour vous. Cependant, c'est le marché de la nostalgie.
Que va-t-on écouter dans vingt ans? Trente ans? Cent ans? deux cents ans? Personne ne peut le savoir.
On sait (ou pas!) qu'à une époque le grand Bach, lui-même, avait disparu de la scène musicale.
Plus globalement, cela nous interroge sur la futilité des choses humaines. Tout passe et s'évanouit.
Demain, le Soleil, lui-même, va s'éteindre...
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