Bande de dégueux 2 ... Du latin vulgaris, de vulgus, « foule, commun des hommes », « multitude ».

- J'imaginais un Jésus en chocolat pour Pâques.

Je croyais avoir eu une idée originale avec mon Jésus en chocolat, mais d'autres l'ont eu avant moi.

Encore mieux, Carole Laure dans le chocolat... pour les connaisseurs !

Qu'est-ce qu'on en mangeait quand nous étions jeunes, du mauvais chocolat, à s'en écœurer ! Des

lapins, des poules et quoi d'autres.

Ensuite, on achetait des poussins qu'on jetait ensuite dans les toilettes... Non ! Mais qui, néanmoins, ne

restaient pas longtemps vivants. C'est fragile, ces petites choses.

C'est comme les lapins, tout effrayés qu'ils sont avec leur petit nez trémoussant d'angoisses mal vécues !

Car leurs parents venaient, lapins et lapines, d'une ferme où le fermier et sa femme avaient des

problèmes émotionnels....

Alain racontait à Sylvie, ses souvenirs d'enfance dans la chrétienté qui célébrait les fêtes de Pâques tout

en faisait rouler le commerce du chocolat.

Sylvie, justement, dévorait sa dixième boulette de Ferrero Rocher, puis, soudainement, elle se sentit mal.

Elle courra vers la salle de bains pour vomir d'un coup tous les délices de la soirée.

Elle revint plus pâle au salon, croyant en avoir terminé, mais la nausée la reprit.

Était-ce le chocolat ou était-ce le virus d'on on parlait ces temps-ci dans les nouvelles à la télé ?

On parlait d'un besoin irrésistible de dégueuler qui vous prenait jusqu'à douze fois d'affilée.

La quatrième fois, Alain, par amitié et sympathie, et pour montrer qu'il ne se dégonflait pas devant les

responsabilités, vint la retrouver à la salle de bains. La lunette était maculée de vomissures.

"Qui va nettoyer tout cela?" pensa Alain.

Et il la regarda se pencher pour redonner aux égouts ses entrailles putréfiées.

Comme elle portait ses jeans à taille basse, celles-ci descendaient de plus en plus, laissant voir la craque

de ses fesses.

- Tu n'as pas mis de petites culottes, petite vicieuse ! lança Alain pour détendre l'atmosphère.

- Qu'est-ce que tu regardes, gros cochon?

- Ton cul. Tu me fais bander !

- Ce n'est pas le moment. Va te crosser !

Ce qu'il fit, un peu dégoûté quand même par l'odeur de vomi.

- Regarde, j'ai un remède pour toi !

Il montra à Sylvie le sperme qui avait giclé sur sa main.

Le lendemain, elle alla voir son médecin de famille, le docteur Landru, sans lien de parenté avec le

célèbre tueur en série.

C'était bien le virus qui l'avait fait gerber toute la nuit.

- Déshabillez-vous, nous allons vous examiner. Le nous de majesté, signifiant lui-même, car il avait

retenu cela de ses études littéraires.

Il la faisait toujours se déshabiller.

- Fermez les yeux, nous allons vérifier si vous secrétez normalement. Après avoir sorti tampon, elle

arrivait à la fin de ses règles, il lui glissa deux doigts dans le vagin. Puis il lui caressa le clitoris.

- Mais docteur...

- Laissez-vous aller.. Pensez à des choses corsées. Vous avez de beaux seins...

Elle commença à mouiller malgré elle et une sorte d'orgasme la fit frissonner.

Vient une sorte d'éjaculation qui inonda à deux mètres à la ronde.

- Eh ben ! Femme fontaine aime les fredaines, dit le proverbe.

- Je suis désolée, Docteur.

- Ça ne fait rien.... Maintenant, ouvrez la bouche, il examina l'intérieur de sa joue avec ses deux doigts

experts.

- Dites A.

- Aaaaaaaaaa.

- Restez la bouche ouverte, nous allons voir si les sécrétions buccales sont normales.

Il sortit son pénis qui était de dimension réglementaire pour les films pornos, dans les dix-huit centimètres

et lui mit dans la bouche.

- Machinalement, Sylvie, le suça un peu mollement au début, puis avec plus de passion.

- Excellent ! fit le docteur, continuez.

Il lui explosa dans la bouche. Elle en avala une partie et en recracha un peu, puis, soudainement la

nausée de la veille lui revint.

Elle gerba sur la blouse du docteur, sur son plancher, sur la table de consultation.

- Beurk, c'est dégueulasse ! lança le docteur dans un mouvement d'humeur. puis se reprenant... Ça ne

fait rien, ça ne fait rien. Ma secrétaire va tout nettoyer. J'aime bien la voir quand elle est penchée...

Il lui prescrit un médicament et elle repartit à la maison.

La secrétaire entra dans le cabinet du docteur. Elle fut gênée par l'odeur de chatte, mais elle en avait vu

d'autres avec ce médecin fornicateur.

Comme elle portait une jupette, le docteur la zieuta qui essuyait le tout à quatre pattes.

Il lui enleva sa petite culotte et acheva sa journée de travail dans le fion de son employée. Quand il retira

sa queue maculée de blanc et de brun, sa secrétaire relâcha ses sphincters révélant qu'elle avait mangé

un riche boeuf aux légumes.