Bande de dégueux 3
Au même moment où Line goûtait à la médecine spéciale de son médecin, Sylvie consultait un
psychologue.
Rien n'allait plus au travail.
Elle travaillait comme caissière dans un supermarché.
Depuis qu'on avait retiré les pièces de monnaie d'un cent, son cerveau n'arrivait plus à
conjuguer avec les approximations que ce changement entraînait.
Elle avait développé une obsession mathématique qui lui faisait calculer
à la vitesse de l'éclair le vrai prix des aliments qui passaient sous le rayon laser.
Le psychologue essayait de comprendre son toc en lui faisant passer différents tests.
Il lui apprit ainsi que son quotient intellectuel était particulièrement élevé.
Sylvie en fut très étonnée.
- J'ai toujours pensé que j'étais idiote, avoua-t-elle au psychologue.
C'est pourquoi j'ai choisi d'être caissière.
- Vous avez très intelligemment adapter votre mode de vie à votre croyance.
Quand Sylvie raconta cette consultation avec ces colocataires, ils furent aussi surpris.
- Le psy voudrait que je passe d'autres tests et que je rencontre un neuropsychologue. Il
semblerait que mon intelligence est d'un niveau très supérieure même qu'il touche au génie.
Moi, qui me pensait idiote.
- C'est surprenant, en effet, on n'a jamais cru non plus que tu étais si brillante, remarqua
Line.
- À l'école, je ne m'entendais pas avec mes camarades, il paraît que c'est normal pour les
surdoués de penser que les autres sont des têtes de nœud.
Alain les écoutait d'une oreille distraite. Il pissait et se demandait pourquoi quand on pisse
on a aussi tendance à péter.
Il ne posa pas la question à la nouvelle génie. Il songeait plutôt au sperme qu'il allait
gicler dans le vagin de Line ou dans son cul avec de la vaseline.
Qui sait si moi aussi je ne suis pas un génie, pensa-t-il en secouant sa pine pour lâcher les
dernières gouttes.
psychologue.
Rien n'allait plus au travail.
Elle travaillait comme caissière dans un supermarché.
Depuis qu'on avait retiré les pièces de monnaie d'un cent, son cerveau n'arrivait plus à
conjuguer avec les approximations que ce changement entraînait.
Elle avait développé une obsession mathématique qui lui faisait calculer
à la vitesse de l'éclair le vrai prix des aliments qui passaient sous le rayon laser.
Le psychologue essayait de comprendre son toc en lui faisant passer différents tests.
Il lui apprit ainsi que son quotient intellectuel était particulièrement élevé.
Sylvie en fut très étonnée.
- J'ai toujours pensé que j'étais idiote, avoua-t-elle au psychologue.
C'est pourquoi j'ai choisi d'être caissière.
- Vous avez très intelligemment adapter votre mode de vie à votre croyance.
Quand Sylvie raconta cette consultation avec ces colocataires, ils furent aussi surpris.
- Le psy voudrait que je passe d'autres tests et que je rencontre un neuropsychologue. Il
semblerait que mon intelligence est d'un niveau très supérieure même qu'il touche au génie.
Moi, qui me pensait idiote.
- C'est surprenant, en effet, on n'a jamais cru non plus que tu étais si brillante, remarqua
Line.
- À l'école, je ne m'entendais pas avec mes camarades, il paraît que c'est normal pour les
surdoués de penser que les autres sont des têtes de nœud.
Alain les écoutait d'une oreille distraite. Il pissait et se demandait pourquoi quand on pisse
on a aussi tendance à péter.
Il ne posa pas la question à la nouvelle génie. Il songeait plutôt au sperme qu'il allait
gicler dans le vagin de Line ou dans son cul avec de la vaseline.
Qui sait si moi aussi je ne suis pas un génie, pensa-t-il en secouant sa pine pour lâcher les
dernières gouttes.
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